"Adoptés, ils tentent de retrouver leurs parents biologiques".
En replay jusqu'au 29 septembre. Emission du 20 HEURES du 23 septembre 2015.
Marie Salze a été adoptée au
Guatemala quand elle avait trois mois. Grâce à une association, elle a retrouvé
sa mère biologique. Finalement, quatre ans après les premiers contacts, les deux femmes se sont retrouvées
en France. Au moment des retrouvailles,
les parents adoptifs sont présents. Ce sont même eux qui sont allés
chercher sa mère au Guatemala.
Né sous X : le secret de Reine, Replay de l'émission "Dans les yeux d'Olivier" du 2 septembre 2015.
Aujourd’hui en France, environ 600 enfants naissent chaque année sous X. Il n'y a qu'en France et au Luxembourg qu'une mère a le droit d'abandonner son enfant dès la naissance, sans laisser de traces, avec la garantie de ne jamais être retrouvée. Olivier Delacroix lève le voile sur une histoire hors du commun, celle d'un incroyable secret de famille. Le destin d'une fratrie éparpillée, d'enfants tous abandonnés par une même mère, Reine.
Mon passé a refait surface ... (Toute une histoire)
Emission présentée par Sophie Davant
Mardi 19 mai 2015 à 13 h 55.
Les invités menaient une vie tranquille jusqu’au jour où leur passé a refait surface dans leur vie. Un passé des plus importants car il s’agissait de leurs origines et de l’histoire même de leur naissance. Ils ont vécu pendant 40, 50 ou même 67 ans sans savoir réellement d’où ils venaient et dans quelles circonstances ils étaient venus au monde. Et c’est malgré eux que ce passé a tout d’un coup resurgi dans leur vie, ce qui les a bouleversés. Depuis, ils sont repartis sur les traces de leurs origines et ont découvert tout un pan de leur existence qu’ils ignoraient.
Nés sous X : en quête d'identité
L'écho des lois 18/02/2015
Chaque année, environ 700 femmes décident d’accoucher sous X, c’est-à-dire en demeurant anonymes. Impossibilité matérielle/psychologique/pressions familiales, les raisons qui les poussent à abandonner leurs enfants sont multiples. L’objectif de cette loi créée en 1941 de diminuer le nombre d’avortements et les abandons sauvages. Aujourd’hui, cette disposition est dénoncée par certaines associations de personnes nées sous X et de mères de naissance qui remettent en cause ce droit au secret au nom de l’intérêt de l’enfant qui s’interroge toute sa vie et doit souvent affronter un parcours du combattant s’il veut retrouver ses origines. Alors cette loi a-t-elle réellement permis de mieux protéger les mères ? Est-elle encore d’actualité au vu de l’évolution des mentalités et des moyens de contraception ? Fait-elle trop primer l’intérêt de la mère sur celui de l’enfant ?